20141005

Rendu Semaine 1 : matériaux en empilements, structures en compression G. Elodie

Matériaux         Geffroy Elodie
Compte rendu semaine 1 : matériaux en empilements, structures en compression

Exercice 1 : empilement de matière

Choix du matériau : tasseau de bois
Structure : en forme de sablier, à base circulaire




Orientation des recherches :
En quatuor, nous sommes parties d’une base circulaire composée de 5 tasseaux de bois. Nous voulions ensuite former un dôme par empilement en rapprochant les tasseaux vers le centre du cercle.


Pour que le rétrécissement soit possible nous avons dû enlever, au fur et à mesure des étages, des tasseaux de bois pour ainsi obtenir la forme la plus petite que l’on pouvait (photo ci-dessus).
Car en effet ce n’était pas la plus petite forme possible car nos recherches n’ont abouti qu’à des échecs concernant la partie supérieure du dôme.






Par la suite, en laissant de côté la fermeture du dôme nous avons eu envie de poursuivre l’empilement par élargissement : en ouvrant la structure. Ce qui a donné deux formes identiques en symétrie axiale ( photo ci-dessous).






Notre nouveau but était donc d’élargir la forme supérieure toujours par superposition, mais cette fois en éloignant du centre les tasseaux de bois donc en en rajoutant au fur et à mesure de la construction des étages. Ce qui nous a amené au point de rupture de la structure, c’est-à-dire que nous avons fermé le dernier cercle avec le même nombre de tasseaux que celui de la base, c’est-à-dire 5.









A partir de ce moment, nous nous sommes posé les questions suivantes : peut-on continuer à élargir la structure ? Si oui, comment ? Avec la même méthode (élargissement du cercle et ajout de tasseaux) ?

Notre réponse a été non, nous n’avons pas réussi à faire progresser en largeur et en hauteur notre sablier. Il est donc resté parfaitement symétrique avec 5 tasseaux en bas comme en haut (photo ci-dessous).






Remarques personnelles :
J’ai apprécié cette approche brute de la matière tout en essayant de construire. J’ai surtout pu observer les limites de l’équilibre de nos structures, là où compression, poids et vide se défient.


Un petit retour en enfance où le meilleur et le pire moment reste la destruction de notre travail, en ayant appris un peu pour mieux pouvoir recommencer.



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